Les pollutions des eaux
30/10/2024
Pollution de 22 microns : une particule invisible qui menace nos eaux de ruissellement
Les eaux pluviales, bien qu’essentielles au cycle naturel de l’eau, peuvent devenir un vecteur de pollutions insidieuses lorsqu’elles s’écoulent sur des surfaces urbaines. Ces eaux, chargées de microparticules et de polluants dissous, représentent un enjeu majeur pour la qualité de nos écosystèmes aquatiques. Agir pour les traiter efficacement, c’est protéger la biodiversité et préserver notre environnement.
Quand il s’agit de pollution, ce que l’on ne voit pas peut souvent causer le plus de dégâts. Avec une taille moyenne de 22 microns, soit l’équivalent d’un globule blanc, certaines particules polluantes sont invisibles à l’œil nu. Pourtant, leur impact sur nos écosystèmes est bien réel et préoccupant.

Une pollution insidieuse qui menace la biodiversité
Les particules fines et dissoutes dans l’eau envahissent les eaux de ruissellement lorsqu’elles s’écoulent sur des surfaces imperméables comme les routes ou les parkings. Ces micropolluants, issus notamment de l’érosion urbaine, des rejets industriels et de l’usure des véhicules, s’accumulent ensuite dans la nature. Ils pénètrent les organismes vivants et perturbent les équilibres écologiques, avec des conséquences toxiques qui réduisent inexorablement la biodiversité.
Restaurer la qualité chimique et écologique des eaux
Pour atteindre un bon état chimique et écologique des cours d’eau, il est indispensable de traiter les pollutions dissoutes dans les eaux pluviales. Ces particules microscopiques ne sont pas éliminées par les solutions de filtration traditionnelles. Cela pose un défi majeur pour la préservation des milieux aquatiques et des espèces qui en dépendent.
Chez Stradal, nous avons développé une solution innovante pour lutter contre ces pollutions invisibles : l’UpFlo™Filter. Cette technologie de filtration inversée capture efficacement les macrodéchets tout en retenant les particules jusqu’à une taille moyenne de 22 microns.